Le père d’Alexis Vastine, Alain, tente tant bien que mal de composer avec la mort de son fils qui a perdu la vie à l’âge de 28 ans en Argentine, où il tournait ’Dropped’, l’aventure de TF1.
De ce drame, l’entraineur de boxe y revient dans les colonnes de ’Paris Match’, où il se dit inconsolable.
Il tente en effet de se construire avec son épouse, Sylvie, après déjà fait face à la mort de leur fille en janvier dernier.
’Il était beau comme James Dean, mon fils’, se rappelle Alain, fier du son boxeur de fils qui a perdu la vie le 9 mars dernier dans un crash aérien.
En connaisseur averti, Alain Vastine veut surtout se rappeler la précocité d’Alexis, qui à 6 ans, savait déjà ce qu’il voulait faire de sa vie.
« À 6 ans, Alexis voulait déjà combattre. Je l’ai fait monter sur le ring avec la licence de son frère Adriani [8 ans à l’époque, l’âge minimum requis, NDLR]’, raconte le vice-champion de France de boxe amateur, et propriétaire d’un club.
S’il est une chose que l’entraineur regrette aujourd’hui, c’est de ne pas avoir serré plus souvent son fils dans ses bras.
’J’aurais dû aussi le serrer plus souvent dans mes bras’ poursuit le papa, les larmes aux yeux.
Et si son épouse Sylvie a tenté de faire interdire la boxe à la maison, Alain a toujours été obsédé par le ring.
« J’avoue : je faisais passer le sport avant les études », confie-t-il.
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