L’Amour est dans le pré - Annick aidée par un coach mental après avoir essuyé les critiques

La jolie blonde affirme même en avoir gardé quelques séquelles.

« J’ai été totalement détruite, ça m’a tellement atteinte que j’en suis tombée maladie. Dans les mois qui ont suivi, un ami m’a même envoyé son coach mental pour m’aider. Mais aujourd’hui un pincement qui est toujours là », dit celle qui travaille pour l’Oréal dans les pages de Télé Star.

Annick explique que sa participation est motivée par le fait de se sentir campagnarde.

« Je suis capable de vivre dans un cabanon. Je rêve avec pas grand chose. Quand j’ai passé une semaine chez Thierry, j’ai revécu des souvenirs de jeunesse. Les vignes, la terre, la corde avec le linge qui pend, les meubles rustiques, ça me parlait tout ça. Au nom de quoi, je n’aurais pas le droit de m’installer dans le sud pour m’occuper des oliviers, puis, sans transition, de passer une jolie robe pour aller monter les marches de Cannes ».

« Il aurait fallu que j’accepte une relation pour plaire au public ?, s’interroge-t-elle. J’ai gardé toutes nos conversations, pour mon livre (...) dans trois ans, je suis à la retraite et à ce moment-là, je le publierai ».
Il était reproché à Annick d’avoir participé à ce programme phare de M6 pour le buzz, ce dont elle se défendait à l’époque.
« C’est une très belle histoire. J’adore, comme beau­coup de femmes, L’amour est dans le pré, donc j’ai parti­cipé car je vis encore à la campagne, mes parents étaient viti­cul­teurs. Je me suis dit : je suis céli­ba­taire, donc pourquoi pas moi ?? J’ai choisi le viti­cul­teur car mes parents étaient viti­cul­teurs et j’avais envie de vivre quelque chose d’extra­or­di­naire », confiait Annick, inter­ro­gée sur la sincé­rité de sa démarche. « Thierry est quelqu’un avec des vraies valeurs, et dans le monde dans lequel je vis actuel­le­ment, des hommes avec des vraies valeurs j’en ai pas beau­coup rencon­trés ».