Chargée de la mise en scène de « La Traviata » de Verdi lors de la 15ème édition d’Opéra en plein air en ce mois de juin, Arielle Dombasle se confie lors d’un entretien avec « Gala », où elle évoque son enfance.
Et ça n’a pas été facile et pour cause ! Elle est marquée par la mort de sa maman, emportée à l’âge de 36 ans des suites d’une grave maladie.
’Je n’étais qu’une enfant mais je voyais qu’elle pleurait souvent et semblait garder un secret’ se souvient la chanteuse et comédienne.
’Elle n’a aimé qu’un homme à la folie, c’était lui’, précise-t-elle.
’Elle lui a caché jusqu’à la maladie qui la rongeait pour ne pas risquer de lui déplaire’, ajoute l’épouse de Bernard-Henry Lévy.
Et à la mort de sa mère, son père avait refait sa vie avec une femme très autoritaire.
’A la maison, il y avait une nouvelle femme, très belle, mais qui faisait régner la peur. Nous n’avions le droit ni d’évoquer le passé ni de prononcer le nom de mon adorable maman’, dit-elle. ’Même le petit chien noir que mon père lui avait offert n’avait plus le droit d’entrer dans la maison’.
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