Arnaud Montebourg, Aurélie Filippetti amoureuse ou ambitieuse ?

’Qu’est-ce qui a poussé la ministre de la Culture à démissionner ?, s’interroge ’Elle’. Le sentiment amoureux ? Le sens politique ? Un peu des deux ?’ Au journal qui l’a rencontrée, l’ex-ministre le dit : ’Les choses étaient écrites’. (...) Elle pointe du doigt ’les couleuvres avalées’ durant ses deux années au gouvernement (...)’.

L’ex ministre de la Culture avait par ailleurs affirmé avoir ’déjà songé à partir’, rappelle ensuite le magazine ’Elle’.
’Mais c’était trop tôt dans le quinquennat’, se justifie-t-elle aujourd’hui.

’Ah, parce que les convictions, il y a des bons et des mauvais moments pour les défendre ?’ glisse à cette occasion un proche ami d’Arnaud Montebourg, qui s’exprimait sous couvert d’anonymat.

’Elle est beaucoup plus politique que ce que les gens croient. Son sujet, c’est de choisir le bon cheval pour y arriver’, lâche-t-il ensuite, prétendant que le départ de Aurélie Filippetti du gouvernement est ’coup habile’, et qu’il a été ’minutieusement calculé’.

’Elle a besoin de sauver ses mandats locaux et elle n’avait pas grand-chose à perdre’, explique-t-il. Pour le magazine Elle, ce départ est dicté à la fois par l’amour et le sens politique.