Bernard de la Villardière s’est confié lors d’un entretien accordé à « Gala », dans le cadre de la promotion de son livre « L’homme qui marche ».
Pour l’occasion, il se livre sur son enfance, passée notamment à La Réunion, au Maroc, ou encore au Liban.
« Cette enfance à l’étranger conjuguée aux valeurs transmises par mes parents m’a donné une curiosité et le goût des autres. Je n’ai jamais entendu mes parents critiquer par exemple les Libanais, lorsque nous vivions dans ce pays », explique l’animateur star de M6, qui revient ce soir avec un nouveau numéro de Dossier Tabou.
« J’étais très sensible, je pensais qu’il fallait montrer ses blessures. On a pu me surnommer Caliméro », poursuit Bernard de la Villardière.
Et d’ajouter : « J’ai réalisé que les gens pouvaient tirer parti de vos faiblesses. Je me suis blindé. Quitte à afficher une assurance parfois surjouée ».
L’animateur explique au passage avoir suivi les conseils de ses parents qui lui demandaient « de ne pas faire le malin. De rester à sa place ».
Ce soir, 27 mars, un nouveau numéro de Dossier Tabou intitulé « Et si on légalisait le cannabis en France ? ».
« La consommation augmenterait-elle ? Que rapporte vraiment l’économie noire du cannabis ? Combien de personnes en vivent-elles ? Qui contrôle les réseaux ? Cette manne financière préserve-t-elle la paix sociale comme le pensent certains ? », fait savoir la publication.
L’intégralité de cette entrevue est à retrouver dans le prochain Télé Star, en kiosque le lundi 20 mars prochain.
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