Brad Pitt avait déposé une requête devant le juge en charge de son divorce dans laquelle il demande à ce que les débats avec sa future ex compagne ne soient pas médiatisés.
Malheureusement pour lui sa demande a été rejetée.
D’après TMZ, l’entourage d’Angelina Jolie s’y est fermement opposée.
Il est reproché à Brad Pitt de vouloir non pas sauvegarder ses six enfants, mais sa réputation.
« C’est son comportement qui est au centre des enquêtes du FBI et de la DCFS (l’agence gouvernementale qui protège les enfants et les familles) », a fait savoir l’avocate de l’actrice hollywoodienne.
FBI avait pourtant confirmé en novembre dernier dans un communiqué que Brad Pitt n’a jamais maltraité ses enfants contrairement aux accusations portées à son encontre.
Il y a quelques semaines, Angelina Jolie avait été interrogée par le FBI sur l’éventuelle violence dont Brad Pitt aurait fait preuve à l’égard de leurs enfants.
Us Weekly affirmait juste après le divorce du couple hollywoodien que Brad Pitt aurait été filmé alors qu’il s’en prenait à son fils Maddox, lors d’un vol à bord d’un jet privé entre Paris et Los Angeles.
L’hebdomadaire people prétendait avoir visionné la vidéo qu’il s’apprêterait d’ailleurs à diffuser.
Une source proche qui aurait assisté à ce pétage de câble racontait que l’acteur hollywoodien de 53 ans a agressé verbalement ses enfants.
« Angelina et Brad ont commencé à se disputer pendant qu’ils étaient dans l’avion, et leur fils Maddox s’en est mêlé et s’est retrouvé pris entre les deux. Brad avait peut-être bu, et il a admis qu’il avait hurlé sur son fils, mais il insiste sur le fait qu’il ne l’a pas frappé ou n’a pas tenté de lui faire du mal », faisait savoir cette source.
Les agents se seraient rendus au domicile de l’actrice, à Malibu, et la tribu aurait été interrogée dans ce sens durant trois longues heures.
Et le 23 novembre dernier, la police fédérale avait rendu sa décision. « En réponse aux accusations incluant Brad Pitt et ses enfants, le FBI a passé en revue les circonstances et a décidé d’interrompre l’enquête » a expliqué la police fédérale.
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