Brigitte Macron, qui a rencontré à plusieurs reprises le professeur Didier Raoult, serait sans doute intriguée par les graves accusations portées par l’apôtre de l’hydroxychloroquine. IL évoque un complot de haut rang.
Ses accusations, ce professeur apprécié par le couple présidentiel les porte lors d’un entretien accordé à Jean-Marc Morandini, dans le cadre de son émission sur Cnews, où il réagit à la poursuite du conseil de l’ordre l’accusant d’entorse au code de déontologie.
Il n’est pas étonné par la poursuite et évoque même un complot destiné à le déstabiliser.
"Je savais depuis longtemps qu’il y avait un petit complot très très haut placé, je sais ça depuis plusieurs mois donc je ne suis pas étonné du tout", a-t-il lancé.
Aucun non n’a été cité, mais il semble cibler des membres du gouvernement.
Il reconnait avoir été prévenu du dépôt d’une plainte.
Il précise que le complot d’ordre "médico-politique".
Cinq médecins hospitaliers s’étaient plaint de sa surmédiatisation.
Le professeur marseillais en profite pour régler ses comptes. Ils seraient jaloux de sa notoriété.
"Il y a en quatre que je connais pas et qui ne sont même pas des infectiologues et l’autre qui ne voit plus de malades parce qu’il est à la retraite et dans la production scientifique a été relativement médiocre", a-t-il lancé.
Emmanuel Macron avait déjà évoqué son cas.
« De ce que j’ai compris de la science, c’est qu’il n’y avait pas de traitement stabilisé. S’il n’y a pas de traitement, je ne vais pas en prendre », avait-il répondu à Léa Salamé qui lui demandait son avis sur l’hydroxychloroquine.
« Je crois à la rationalité scientifique. Le professeur Raoult est un grand scientifique, il était normal qu’il participe au débat scientifique. Mais ce n’est pas au président de la République de trancher un débat scientifique »
acron, qui a rencontré à plusieurs reprises le professeur Didier Raoult, serait sans doute intriguée par les graves accusations portées par l’apôtre de l’hydroxychloroquine. IL évoque un complot de haut rang.
Ses accusations, ce professeur apprécié par le couple présidentiel les porte lors d’un entretien accordé à Jean-Marc Morandini, dans le cadre de son émission sur Cnews, où il réagit à la poursuite du conseil de l’ordre l’accusant d’entorse au code de déontologie.
Il n’est pas étonné par la poursuite et évoque même un complot destiné à le déstabiliser.
"Je savais depuis longtemps qu’il y avait un petit complot très très haut placé, je sais ça depuis plusieurs mois donc je ne suis pas étonné du tout", a-t-il lancé.
Aucun non n’a été cité, mais il semble cibler des membres du gouvernement.
Il reconnait avoir été prévenu du dépôt d’une plainte.
Il précise que le complot d’ordre "médico-politique".
Cinq médecins hospitaliers s’étaient plaint de sa surmédiatisation.
Le professeur marseillais en profite pour régler ses comptes. Ils seraient jaloux de sa notoriété.
"Il y a en quatre que je connais pas et qui ne sont même pas des infectiologues et l’autre qui ne voit plus de malades parce qu’il est à la retraite et dans la production scientifique a été relativement médiocre", a-t-il lancé.
Emmanuel Macron avait déjà évoqué son cas.
« De ce que j’ai compris de la science, c’est qu’il n’y avait pas de traitement stabilisé. S’il n’y a pas de traitement, je ne vais pas en prendre », avait-il répondu à Léa Salamé qui lui demandait son avis sur l’hydroxychloroquine.
« Je crois à la rationalité scientifique. Le professeur Raoult est un grand scientifique, il était normal qu’il participe au débat scientifique. Mais ce n’est pas au président de la République de trancher un débat scientifique »
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