Après avoir déballé sur les supposés abus sexuels d’Olivier Duhamel, son beau-père, Camille Kouchner risque d’être froissée davantage. L’institution supposée avoir protégé son illustre beau-père, "Le Siècle", n’est pas près d’être dissoute.
Ce club dont Olivier Duhamel a été nommé président compte environ 700 membres, dont une majorité d’hommes, politiques, hauts fonctionnaires, journalistes, industriels, banquiers.
Pour y rentrer, il faut "être parrainé par deux personnes puis passer par un processus de sélection". À l’issue de celui-ci, les élus peuvent assister, le dernier mercredi de chaque mois, à la réunion qui a lieu au 33 rue du faubourg Saint-Honoré, tout près de l’Élysée".
La nomination d’Olivier Duhamel à la présidence de ce club a agacé la fille de Bernard Kouchner.
« Le Siècle, c’est le truc de trop. Cela a rendu Camille Kouchner folle », a glissé un proche de l’autrice de « La familia grande », un ouvrage publié la semaine dernière aux éditions « Le Seuil ».
Louis Schweitzer, le président par intérim de la Fondation nationale des sciences politiques, a défendu cette institution dont il fait partie dans les colonnes du Parisien.
A la question, si les institutions informelles "comme le Siècle, dont faisait
partie Olivier Duhamel, "ont encore leur place dans une société qui réclame plus d’ouverture de ses élites, et moins d’entre-soi ?".
L’ancien président du groupe automobile Renault ne se défile pas.
"Le Siècle est un club. Je ne connais aucun pays qui n’en ait pas. J’y suis entré en 1981 quand le Siècle a voulu « rosir » ce cénacle ! (Rires.) Mais
je n’y suis plus car l’âge limite est de 75 ans. C’est un lieu de
rencontre, pas de pouvoir".
r déballé sur les supposés abus sexuels d’Olivier Duhamel, son beau-père, Camille Kouchner risque d’être froissée davantage. L’institution supposée avoir protégé son illustre beau-père, "Le Siècle", n’est pas près d’être dissoute.
Ce club dont Olivier Duhamel a été nommé président compte environ 700 membres, dont une majorité d’hommes, politiques, hauts fonctionnaires, journalistes, industriels, banquiers.
Pour y rentrer, il faut "être parrainé par deux personnes puis passer par un processus de sélection". À l’issue de celui-ci, les élus peuvent assister, le dernier mercredi de chaque mois, à la réunion qui a lieu au 33 rue du faubourg Saint-Honoré, tout près de l’Élysée".
La nomination d’Olivier Duhamel à la présidence de ce club a agacé la fille de Bernard Kouchner.
« Le Siècle, c’est le truc de trop. Cela a rendu Camille Kouchner folle », a glissé un proche de l’autrice de « La familia grande », un ouvrage publié la semaine dernière aux éditions « Le Seuil ».
Louis Schweitzer, le président par intérim de la Fondation nationale des sciences politiques, a défendu cette institution dont il fait partie dans les colonnes du Parisien.
A la question, si les institutions informelles "comme le Siècle, dont faisait
partie Olivier Duhamel, "ont encore leur place dans une société qui réclame plus d’ouverture de ses élites, et moins d’entre-soi ?".
L’ancien président du groupe automobile Renault ne se défile pas.
"Le Siècle est un club. Je ne connais aucun pays qui n’en ait pas. J’y suis entré en 1981 quand le Siècle a voulu « rosir » ce cénacle ! (Rires.) Mais
je n’y suis plus car l’âge limite est de 75 ans. C’est un lieu de
rencontre, pas de pouvoir".
Ces articles devraient vous intéresser :