Dans son numéro d’aujourd’hui, Gala prétend que Charlotte Casiraghi et son homme, Dimitri Rassam, étaient destinés à se rencontrer.
Est-ce que ces enfants « bien nés », comme on dit, « étaient destinés à se rencontrer un jour ?? », s’interroge l’hebdomadaire people, qui ne répond pas dans un premier à cette question.
Il est précisé néanmoins qu’à ce couple « plein de charme », qui a officialisé cette idylle il y a quelques jours au Jumping de Monte-Carlo, on a « envie d’y croire ».
Leur passé les aurait rapproché. Ils ont en effet perdu leurs papas très jeunes.
Dimitri Rassam « a perdu son père à l’âge de 3 ans ».
« Producteur de génie (il a flairé les Godard, Pialat, Jean Yanne, Ferreri, Polanski…), excessif en tout, borderline souvent, diagnostiqué maniaco-dépressif, Jean-Pierre Rassam met fin à ses jours en 1985, il a 43 ans ».
« J’ai vécu dans l’absence de père, mais pas dans le souvenir de l’avoir perdu », résume Dimitri Rassam, qui est revenu sur cette période dans les pages du magazine « Elle ».
Charlotte Casiraghi quant à elle a perdu son papa, alors que qu’elle n’était âgé que de quatre ans.
« L’inquiétude et l’angoisse existentielle font partie de la vie de chacun. Mon expérience personnelle a été faite d’événements tristes, comme la mort précoce de mon père. », disait-elle il y a peu à l’Observateur de Monaco.
Et d’ajouter : « La solitude, je l’ai ressentie assez tôt, adolescente, et c’est ce qui m’a poussée vers l’introspection, d’autant que j’avais un tempérament qui m’inclinait à l’analyse ».
Ce passé douloureux leur permettrait de se construire ensemble, et surtout de se focaliser sur l’essentiel, à savoir la publication.
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