Selon In Touch, le prince Albert aurait pris de nouvelles précautions en cas de décès, ce qui signifie que si son fils, le Prince Héréditaire Jacques, est encore mineur à la mort de son père, Charlène de Monaco régnerait, mais sous surveillance étroite.
Et cela aurait été perçu comme une nouvelle claque pour l’ex-nageuse, et pourrait être interprétée comme un manque de confiance de la part de son propre mari quant « à ses capacités à gouverner le pays ». Ses ennuis de santé seraient en cause !
Charlène de Monaco aurait enduré « de nombreuses épreuves pour être la femme aux côtés de son mari, une épouse et une mère exemplaire, « malgré toutes les adversités de la cour princière ».
Pourtant, elle semble avoir atteint sa limite. Les médias évoquent une possible déception de Charlène lors d’un récent événement, où elle aurait été contrainte de retenir ses larmes, croit savoir le magazine allemand, qui semble douter de la solidité du couple princier.
L’épouse du prince Albert de Monaco aurait révélé auparavant qu’elle avait concentré toutes ses énergies sur ses enfants, son mari et sa santé, mais maintenant, elle ferait face à une nouvelle déception.
Les Monégasques auraient « presque abandonné tout espoir de la voir un jour heureuse à la cour ». Pourtant, Charlène de Monaco ne compterait pas baisser les bras et reste « une mère et une épouse dévouée ». Mais après tout ce qu’elle a enduré, la princesse se demande sûrement « comment Albert peut lui faire ça ».
L’ex-nageuse aurait mal vécu qu’un conseil de régence , peut-être un contrôle étroit de Caroline de Monaco, lui soit imposé.
Le Palais n’a pas communiqué sur cette histoire, ébruitée par la première fois par le magazine Closer.