Libération revient sur son parcours et évoque ses fêlures, occasion de relayer les confidences de son ancien professeur de philosophie, Robert Maggiori.
« Élève, elle était brillante mais très timide et pleine de la peur de rater. Aujourd’hui, elle m’impressionne parce qu’elle est cultivée avec une soif de savoir constante, mais elle a aussi une grande compréhension des situations comme des gens, fort d’outils qui relève de la psychanalyse », a indiqué l’ancien journaliste de Libération.
« Ce déploiement n’empêche pas qu’une vulnérabilité demeure, elle est facilement blessante », a-t-il ajouté.
"Ça fait écho à ce vers de Baudelaire qu’elle cite avec ferveur", est-il commenté.
"Moi mon âme est fêlée, que c’est beau…La fêlure ou la fragilité, c’est ce qui nous définit, quelque part, d’ailleurs ce Moi, la revendique », précise de son côté l’héritière monégasque.
Pour le quotidien serait peut-être liée entre autres « au décès accidentel de son père ». La principale intéressée n’en dit rien, tant elle cultive son jardin secret ».