Christophe Dominici sera inhumé aujourd’hui à Hyères dans le Var, sa ville d’origine, et un long dossier lui est consacré par Paris Match. Les confidences de sa veuve Loretta Denaro ainsi quelques potes ont été recueillies.
La mère de ses enfants ne croit pas à la thèse du suicide. Une autre poste est évoquée par un ami.
C’est le 24 novembre dernier que la star du ballon oval a perdu la vie des suites d’une chute d’un bâtiment désaffecté situé aux abords du parc Saint-Cloud, en région parisienne.
Pour sa compagne, " impossible" que son geste soit volontaire même s’elle reconnait ses fragilités, surtout suite à l’échec de la reprise du club de Béziers cet été. Un déséquilibre qui serait peut-être lié à la consommation de médicament serait en cause.
David Charvet, l’un de ses proches, a souligné de son côté la difficulté de reconversion lorsqu’on a été un joueur de très haut niveau.
Il évoquait aussi cette vulnérabilité dans "La mort debout".
"On se réincarne comme on peut. On touche à tout. On s’invente une nouvelle vie. Christophe est un garçon qui a été starisé. Je ne sais pas si sa fragilité lui a permis de le supporter. A 35, il faut abandonner la vie qu’on vous a fabriquée, pour laquelle vous avez tout donné, et redevenir comme les autres. On est alors un homme seul", a-t-il indiqué.
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