Défait au premier tour de l’élection présidentielle, François Fillon est tourné vers l’avenir, et prépare activement sa conversion dans le business international.
Cette semaine, Paris Match nous donne des nouvelles de l’ex candidat de l’UMP à la présidence de la république. François Fillon serait en passe de faire sa conversion en s’engageant dans le privé.
L’ex premier ministre travaillerait consciencieusement son anglais.
Pour cela, il peut compter sur le soutien sans faille de son épouse Penelope, qui est originaire du Pays de Galles.
C’est à la rentrée que l’ex candidat à la présidence de la république devrait occuper son nouveau poste.
Il était rappelé il y a peu, que contrairement à son mari François Fillon, ex candidat des L.R à la présidence de la république, Penelope Fillon n’aime pas l’argent.
Cette confidence, la journaliste Sylvie Bommel, auteure de la biographie « Penelope », l’a faite dans les pages du magazine Elle.
Elle explique que l’arrivée de l’épouse de l’ex premier ministre dans le 7e arrondissement de Paris, « en 2007, lui a été fatale ».
« Au début, elle n’aimait pas voir des Ferrari à la sortie de l’école où elle avait inscrit leur petit dernier. Mais elle s’est fait des amies, un vrai fan-club. En tant que femme de Premier ministre, elle a aussi profité d’avantages, lors de manifestations culturelles par exemple, auxquels elle a pris goût comme chacun d’entre nous le ferait », précise la journaliste dont l’ouvrage est disponible en librairie.
« Jusqu’alors, c’était François Fillon qui aimait le luxe, qui signait ses mails « fdebeaucé »… Son manoir vaut bien moins que l’hôtel particulier où vit aujourd’hui Nicolas Sarkozy, mais ce besoin de faire châtelain, de venger son père – pour faire de la psychologie de comptoir – qui avait moins d’argent que les parents de ses camarades de classe, est très présent chez lui. Pas chez elle. Mais, petit à petit, elle a changé, poursuit-elle.
Et à la biographe de Penelope Fillon d’ajouter : « Les gens qu’elle a côtoyés dans ce ghetto huppé de la capitale l’ont transformée. Elle n’a pas vu que c’était anormal que son fils, sa fille et elle gagnent à un moment 15 000 euros brut par mois à eux trois pour des emplois qui ne méritaient probablement pas de tels salaires ».
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