De sa nouvelle vie à New York en tant que Miss Univers, Iris Mittenaere en parle lors d’un entretien accordé au magazine « Gala ».
Un bel appartement a été mis à sa disposition. Mais le vrai souci, c’est la langue.
« C’est bizarre. Tout est allé très vite. Je suis arrivée à New York de nuit et ma première impression, je l’ai eue le matin, au réveil, en découvrant la vue sur Central Park depuis mon appartement , confie-t-elle. Cet espace vert immense, en pleine ville… Je suis restée médusée. Ici, tout est plus grand, les immeubles, les magasins… ma chambre ?! Je dois me pincer pour y croire ».
Et de préciser ensuite que le plus difficile, c’est l’anglais. « Je n’étais pas mauvaise au lycée, mais je n’ai pas pratiqué depuis le bac, il y a cinq ans. En médecine et en dentaire, on ne suit plus de cours de langues. De Lille, je suis parfois allée à Londres, en Eurostar, mais pas plus d’une journée. Donc je savais surtout dire « Combien ça coûte ?? » et « Dans quelle direction aller ?? » Je commence l’aventure avec un sacré handicap. Parfois, quand on me parle, je ne comprends rien, et je fais un grand sourire en me disant, tiens, ça a l’air marrant ce qu’elle raconte ».
Et d’ajouter : « J’ai été embauchée pour un an et je suis soumise à des codes, des règles bien précises. Je suis là pour faire le job. Mais j’ai déjà pu constater à quel point le comité Miss Univers est bienveillant. Ses membres sont vraiment heureux d’avoir une Française et ils adorent ce que représente notre pays, l’élégance, la gastronomie… Du coup, ils me laissent mettre en valeur cette facette. J’ai mon mot à dire », explique-t-elle.
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