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Invité de Marco-Olivier Fogiel, Jean-Paul Gaultier revient sur le disparition de son grand amour, Francis Menuge , au début des années 90.
Le bras droit du créateur de mode a été vaincu par le Sida en 1990, 15 ans avant leur rencontre.
’C’était mon bras droit, mon bras gauche...j’étais amputé’, se rappelle le styliste de passage cette semaine sur ’Le Divan’ de Marc-Olivier Fogiel.
A la mort de son compagnon, Jean-Paul Gaultier avait pensé à tout plaquer.
’Tout ce qu’on avait fait ensemble, c’était un peu comme notre enfant. Les collections c’était des bébés à chaque fois et en fin de compte il fallait que je continue à faire des bébés pour lui’, dit-il.
Le créateur a réussi à retomber amoureux, mais plus de la même façon.
’C’est quelque chose d’unique ce que j’ai vécu. Même si sa disparition est plus que douloureuse, je ne regrette rien et je ne voudrais pas ne pas l’avoir connu. Je peux supporter tout ça du moment que je l’ai connu’, dit-il.
Jean-Paul Gaultier avait également évoqué cette relation dans les colonnes de ’Gala’.
« Ce fut immédiat. Il était extrêmement mignon, drôle, brillant mais dans la conversation, je crois comprendre qu’il aime les femmes. Le soir-même au téléphone, Donald (Potard) me dit que je me trompe gravement, que je lui ai plu aussi et qu’il a demandé mon numéro de téléphone », a raconté le couturier.
Jean-Paul Gaultier est revenu ensuite sur la maladie de son compagnon disparu.
« Francis était décharné, affaibli, s’est-il rappelé. C’est un paradoxe complet. Mais lui qui avait des tendances autodestructrices s’est montré extraordinairement courageux, jamais abattu, retrouvant des forces physiques chaque jour ! ».
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