D’après « le Parisien », Johnny Hallyday avait signé des années avant son décès des suites d’un cancer des poumons avec sa maison de disque un contrat d’interprète sur mesure, qui lui a rapporté gros.
Et ce contrat rapporte aujourd’hui gros à ses héritiers.
« Le contrat d’interprète d’Hallyday était un des plus gros parmi les artistes français, décrypte un spécialiste de la musique, cité par le Parisien. Il se voyait reverser 20% du prix hors taxe chaque CD vendu. Soit globalement 2 euros par disque ».
A titre d’exemple, le rockeur de 74 ans avait pu recevoir plus de 4 millions d’euros suite au triomphe de son album « Sang pour sang », qui s’était écoulé à 2 millions d’exemplaires.
Ces droits d’interprète reviennent maintenant à ses héritiers qui « vont les toucher durant les 70 ans suivant la date de sortie de l’album », rappelle le quotidien.