Charlotte Casiraghi en prend pour son grade dans les colonnes de « Voici », qu’elle a une nouvelle fois trainé en justice pour avoir fait état de sa prétendue relation avec le réalisateur italien, Lamberto Sanfelice.
En novembre dernier, l’hebdomadaire avait en effet diffusé des photos de la fille de Caroline de Monaco et son complice italien en pleine balade dans les rues de Paris.
La photo d’un baiser échangé avait même été diffusé.
Ce déballage de son intimité, celle qui a mis fin à sa relation avec Gad Elmaleh en septembre dernier ne l’a pas supporté et, comme à son habitude, elle n’a pas tardé à faire parler la foudre.
Voici fait cas de cette poursuite dans un article intitulé « Charlotte Casiraghi, SDF de l’intime ».
La cavalière réclame « 40000 euros (son avocate qui nous mène devant le tribunal de Monaco- que les valets se déplacent » est particulièrement lyrique : « Voici voulait faire souffrir, et Voici a plutôt réussi », rapporte la publication, avant de relayer des extraits de l’assignation : « Charlotte « assiste jour après jour à l’expropriation de sa vie privée ».
« Et dire que certains SDF se plaignent alors qu’il s’agit pour eux d’un vulgaire toit », a son côté commenté l’hebdomadaire people.
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