Dès le 6 avril prochain, la journaliste sera aux commandes avec David Pujadas de L’Emission politique. Ils recevront sur le plateau de leur rendez-vous politique Emmanuel Macron, candidat d’En Marche à la présidence de la république.
Elle avait prévu de ne s’accorder qu’un congé maternité express.
Le retour de la journaliste avait été annoncé avant le premier tour de la présidence de la république, par TV Mag.
« Léa Salamé sera présente sur la chaîne publique dès le premier tour de la présidentielle et prendra part au dispositif de la soirée électorale aux côtés de Laurent Delahousse, David Pujadas, Marie-Sophie Lacarrau et Julien Bugier », rapportait la publication.
Le petit Gabriel a vu le jour le 12 mars dernier dans un hôpital de l’ouest parisien.
La grossesse de Léa Salamé, on le rappelle, avait été révélée par le magazine Ici Paris en septembre dernier.
A l’époque, le magazine people avait diffusé des photos de la complice de David Pujadas avec quelques rondeurs.
D’après le magazine Ici Paris, la naissance du bébé serait prévue pour février.
Cette grossesse avait ensuite été alimentée alimentée par NKM.
Interrogée sur les propos de François Fillon qui lui avait refusé un poste de ministre en raison de sa grossesse, Nathalie Kosciusko-Morizet en profitait pour prendre à témoin son hôte.
« Ce n’est pas particulier à François Fillon, ni malheureusement à la classe politique. C’est un problème qui traverse la société française, c’est un problème de regard », avait estimé la députée avant de s’adresser à Léa Salamé : « Vous le savez bien puisque c’est votre situation actuellement, c’est un problème de regard sur la femme enceinte ».
Léa Salamé ne lui en veut pas, comme elle le révélait Valentin Spitz de La Nouvelle Edition.
« Elle m’a dit qu’effectivement, elle avait été ‘outée’ par NKM – c’est le mot qu’elle a utilisé – et qu’au final elle avait pris ça de manière assez drôle », confiait le journaliste qui a été joint par sms.