Marion Maréchal-Le Pen, qui a assuré un meeting à Bayonne mardi 11 avril, a livré son avis sur Philippe Poutou, candidat de NPA, à la présidence de la république.
Comme le rapporte Le Monde, le députée du Front National n’a pas mâché ses mots. C’est le moins que l’on puisse dire !
« Les journalistes se sont trouvé un nouveau petit chouchou, le petit Poutou. Comme si le prolétaire était forcément crasseux, mal rasé, mal élevé », a lâché celle qui aurait fait part de sa volonté de quitter la politique.
Si Marion Maréchal-Le Pen envisage sérieusement de mettre fin à sa carrière politique, c’est tout simplement parce que celle-ci lui a coûté son mariage avec Mathieu Decosse, le père de son enfant, rapporte Le Point.
France Dimanche tenait ce propos en février dernier.
Alors qu’elle prône les valeurs familiales, la député Front National avait vu « son propre mariage se disloquer », rapportait déjà l’an dernier le magazine « Closer ».
« Une séparation qui a beaucoup surpris », car « au début de leur couple, le trentenaire Mathieu Decosse suscitait la fierté de Marion, en cumulant les engagements religieux et les succès d’entreprise », prétendait l’hebdomadaire people avant de proposer dans ses pages un retour dans le temps.
« Nous sommes le 29 juillet 2014, devant la mairie de Saint-Cloud. Marine et Jean-Marie Le Pen sont réunis, émus, autour d’une Marion Maréchal Le Pen radieuse. Très enceinte, la députée du Vaucluse vient de dire « oui » à un certain Mathieu Decosse ».
Et moins de deux ans plus tard, ils « ne sont plus franchement à la noce », indiquait la publication.?France Dimanche confirmait ce divorce en février dernier.?« A l’automne, la jeune mère d’une petite fille d’un an, fraichement séparée de son mari, est au bout du rouleau », expliquait l’hebdomadaire.
Et cette semaine, c’est au tour du magazine Le Point d’aller dans ce sens, et de confirmer le désir de la nièce de tourner le dos à la politique. Un proche partage ce constat.
« Elle vient quand même de divorcer. Elle a l’impression d’avoir payé le prix de son engagement politique », explique-t-il.
Marion Maréchal-Le Pen a aussi justifié son absence de réunions pour la campagne de sa tante : « J’ai déjà beaucoup d’activités. Je ne veux pas que plus tard ma fille m’appelle madame ».
Aujourd’hui, elle aspire à une vie plus normale. « À l’ère des smartphones, c’est déjà compliqué de prendre le bus. Alors je ne vais pas aller en boîte de nuit et monter sur le bar », lance l’intéressée.
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