Deux ans avant sa mort, survenue dans la nuit de samedi à dimanche, Pierre Bellemare avait été paralysé suite à un AVC.
Et il en parlait à l’époque lors d’un entretien accordé à "Ici Paris", où il évoquait les conséquences de cet accident terrible, survenu à la gare de Libourne.
« A la suite de cet AVC, j’ai perdu la quasi-totalité de ma vue à l’œil gauche. Je commence à m’y habituer, mais je ne conduis plus » expliquait Pierre Bellemare.
Mais ce qui le gênait le plus c’était une paralysie.
« J’ai surtout un problème de paralysie dans les jambes qui m’oblige à marcher avec une canne, » poursuivait-il.
Pierre Bellemare avait été victime d’un malaise cardiaque dans la gare de Libourne, alors qu’il courrait afin d’avoir sa correspondance.
C’est seulement à l’hôpital que les médecins diagnostiquent un accident vasculaire cérébral.
Un an plus tôt, il avait été victime d’une chute sur le dos, cette fois dans un escalier de l’aéroport d’Orly.
« Je veux travailler jusqu’au bout, confiait-t-il. La retraite, ce n’est pas pour moi, je ne sais pas ce que c’est. J’ai toujours aimé raconter des histoires, je le fais dans mes livres »
vant sa mort, survenue dans la nuit de samedi à dimanche, Pierre Bellemare avait été paralysé suite à un AVC.
Et il en parlait à l’époque lors d’un entretien accordé à "Ici Paris", où il évoquait les conséquences de cet accident terrible, survenu à la gare de Libourne.
« A la suite de cet AVC, j’ai perdu la quasi-totalité de ma vue à l’œil gauche. Je commence à m’y habituer, mais je ne conduis plus » expliquait Pierre Bellemare.
Mais ce qui le gênait le plus c’était une paralysie.
« J’ai surtout un problème de paralysie dans les jambes qui m’oblige à marcher avec une canne, » poursuivait-il.
Pierre Bellemare avait été victime d’un malaise cardiaque dans la gare de Libourne, alors qu’il courrait afin d’avoir sa correspondance.
C’est seulement à l’hôpital que les médecins diagnostiquent un accident vasculaire cérébral.
Un an plus tôt, il avait été victime d’une chute sur le dos, cette fois dans un escalier de l’aéroport d’Orly.
« Je veux travailler jusqu’au bout, confiait-t-il. La retraite, ce n’est pas pour moi, je ne sais pas ce que c’est. J’ai toujours aimé raconter des histoires, je le fais dans mes livres »
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