Depuis l’éclatement de l’affaire d’agression sexuelle dont laquelle son nom est cité, Nicolas Hulot ne serait plus que l’ombre de lui-même.
C’est du moins ce qu’affirme le JDD, qui a recueilli les confidences d’un proche.
« Il est en souffrance, a déclaré un ministre au Journal du Dimanche dans son édition du 11 février. Quand il parle, il a la gorge nouée. Ca se voyait qu’il n’avait pas dormi depuis plusieurs jours ».
Le JDD évoque aussi la manière dont le ministre est préservé par son entourage.
« Tout a été fait pour banaliser la situation, explique un conseiller. Il s’agissait de préserver Nicolas Hulot, de ne pas l’accabler ».
Le ministre de la Transition écologique a déjà évoqué cette affaire sur le plateau de BFM pour nier tout en bloc.
« La plainte a été classée sans suite parce que non seulement l’affaire avait été prescrite, mais les enquêteurs ont considéré que rien ne permettait de poursuivre », indiquait Nicolas Hulot.
Et de poursuivre : « Ce sont deux affaires qui n’en sont pas. On a touché là où ça fait mal. Hier, ma femme, mes enfants, étaient en larmes. La rumeur est un poison lent qui tue, poursuit le ministre bord des larmes. J’ai peur de la rumeur, je n’ai pas peur de la vérité. Ça fait mal quand c’est injuste, quand c’est infondé, et ça fait mal parce qu’hier on a fait pleurer mes enfants ça et je ne le pardonnerai jamais ».
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