Une polémique est née suite à la diffusion des photos de Nathalie Kosciusko-Morizet épanouie suite à son agression par un passant alors qu’elle était en plein tractage en vue du second tour des législatives.
L’AFP de son côté assume totalement ces clichés de l’ex ministre.
« Une personnalité publique, candidate aux élections législatives, se faisant agresser et ayant, à la suite de cette agression, un malaise lui faisant perdre connaissance plusieurs minutes, est une information qui justifie, pour une agence de presse comme l’AFP, d’être relatée en texte et en image », explique à l’Express l’Agence France Presse, avant de préciser que la responsabilité de les diffuser revient à à ses clients.
« Une rédactrice et un photographe de l’AFP étaient présents et ont assisté à la scène. Compte tenu de l’intérêt légitime de cette information et de la nature des photos, nous avons considéré pour notre part qu’il relevait de notre mission de les divulguer », ajoute l’agence.
Et à l’AFP d’expliquer ensuite qu’il ’appartient à nos clients de procéder à leur appréciation, dans le choix de l’illustration de ce fait d’actualité ».
">15 juin 2017"Je viens de parler avec NKM"
Après l'agression de Nathalie Kosciusko-Morizet, sa directrice de campagne s'exprime devant l'hôpital Cochin. pic.twitter.com/AzVX88aqij— Brut FR (@brutofficiel) https://twitter.com/brutofficiel/status/875402614510415877
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