Après s’être livré dans Public, où il a apporté son soutien au couple Macron, Bernard Montiel se livre dans les pages de VSD, où il se dit inquiet pour Pascal Desprez, le mari de Mireille Darc.
Cet architecte parisien qui a partagé la vie de la comédienne durant une vingtaine d’années a du mal à composer avec la disparition de son épouse survenue la semaine dernière.
« Je suis très inquiet pour Pascal. Pendant vingt-et-un ans, cet homme a vécu avec Mireille une histoire passionnelle et fusionnelle. Il est évidemment très abattu, confie-t-il. Très, très abattu. Je me demande s’il va pouvoir s’en remettre. Je lui ai adressé des messages, ce week-end encore, auxquels il n’a pas répondu, cela m’inquiète terriblement ».
« Je me suis dit qu’il allait défaillir. Je connaissais très bien et depuis très longtemps Mireille et Pascal. Il était tellement amoureux d’elle. Ça va être très dur. Nous allons l’entourer ».
Il explique lui avoir envoyé un message auquel il n’a pas répondu.
Pascal Desprez, le mari de Mireille Darc, était invité le 29 août sur RTL, dans l’émission de Marc-Olivier Fogiel, où il est revenu sur la mort de sa femme le 28 août dernier.
« Je suis au bord d’un précipice, je commence un petit peu à remonter la pente, mais toute la nuit j’étais au bord d’un précipice c’était terrible, confie l’architecte. Ce combat qui a commencé le 12 septembre par deux hémorragies cérébrales après un arrêt cardiaque, (…) des comas artificiels… Elle était épuisée, donc les 3/4 derniers mois elle les a passés ici sans drame, mais elle ne se nourrissait pas. Les médecins m’avaient prévenu que c’était une petite flamme ».
« Elle s’est endormie, je suis allée la voir, elle n’a pas vraiment souffert, elle n’a pas eu de morphine, elle était épuisée. Un an de combat comme ça c’est une folie ».
Pascal Deprez avoue ne pas comprendre pourquoi une telle femme, a été « punie » par autant de problèmes de santé : « 79 ans, c’est jeune aujourd’hui et elle n’a fait que du bien, donné tant d’amour, et c’est sa santé qui l’a minée, et c’est un peu dur pour une femme aussi joyeuse, aimante… (…) Je suis un peu révolté là dessus ».
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