Un peu plus d’un an après les "Panama papers", une nouvelle enquête met en cause de la reine Elizabeth II, qui est supposée avoir placé son argent dans des paradis fiscaux.
Cette enquête minutieuse menée par le consortium international de journalistes ICIJ prétend en effet que la souveraine britannique a placé 11,2 millions d’euros dans des fonds d’investissement situés dans les îles Caïmans et aux Bermudes, des places considérées comme des paradis fiscaux.
Ce placement aurait été effectué par l’intermédiaire du duché de Lancaster, qui gère le patrimoine privé de la reine.
Elizabeth II aurait notamment placé une partie de sa fortune dans la société « BrightHouse, une chaîne de 270 magasins d’électroménager ».
« Notre stratégie d’investissement est fondée sur le conseil et les recommandations de nos consultants en investissement... Le duché n’a investi que dans des fonds de capital-investissements dotés d’une très bonne réputation sur les fortes recommandations de nos consultants en investissement », a fait savoir Chris Adcock, directeur financier du duché de Lancaster, contacté par Libération.
s d’un an après les "Panama papers", une nouvelle enquête met en cause de la reine Elizabeth II, qui est supposée avoir placé son argent dans des paradis fiscaux.
Cette enquête minutieuse menée par le consortium international de journalistes ICIJ prétend en effet que la souveraine britannique a placé 11,2 millions d’euros dans des fonds d’investissement situés dans les îles Caïmans et aux Bermudes, des places considérées comme des paradis fiscaux.
Ce placement aurait été effectué par l’intermédiaire du duché de Lancaster, qui gère le patrimoine privé de la reine.
Elizabeth II aurait notamment placé une partie de sa fortune dans la société « BrightHouse, une chaîne de 270 magasins d’électroménager ».
« Notre stratégie d’investissement est fondée sur le conseil et les recommandations de nos consultants en investissement... Le duché n’a investi que dans des fonds de capital-investissements dotés d’une très bonne réputation sur les fortes recommandations de nos consultants en investissement », a fait savoir Chris Adcock, directeur financier du duché de Lancaster, contacté par Libération.
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