Saad Lamjarred se trouve dans de sales draps après avoir été accusé de viol par une jeune femme d’une vingtaine d’années.
Les faits seraient survenus dans la nuit de mardi à mercredi, à l’hôtel Marriott des Champs-Élysées, dans le 8e arrondissement de la capitale.
La star marocaine avait consommé de l’alcool et des stupéfiants au moment des faits, selon les premiers éléments de l’enquête.
La victime « souffre de lésions traumatiques et est fortement traumatisée. Son récit est tout à fait crédible à ce stade », a fait savoir une source proche de l’enquête.
Contacté par l’AFP, son premier avocat Me Jean-Marc Fedida dément les accusations portées à l’encontre de son illustre client.
« Mon client conteste l’ensemble des faits qui lui sont reprochés, a-t-il commenté. Ce qui s’est passé cette nuit-là dans cette chambre est ce qui se passe habituellement à cinq heures du matin entre un homme et une femme consentante ».
Son autre avocat, Me Brahim Rachidi, livre une toute autre piste, en accusant les autorités algériennes d’être à l’origine des déboires actuels de son client.
Le Monde Afrique évoque aussi des « étonnantes théories du complot » répandues sur les réseaux sociaux concernant une prétendue implication algérienne.
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