La soeur de Bernard-Henri Lévy, Véronique Lévy, revient sur sa conversion au christianisme dans les colonnes de ’Paris Match’, où elle confirme avoir renoncé aux hommes pour le christ.
’J’ai jeté dans un grand sac-poubelle mes talons aiguilles, mes porte-jarretelles et mes robes moulantes en disant : ’Jésus, je fais tout cela pour toi’, confie la soeur du philosophe, qui se décrit comme « une enfant » qui était ’solitaire et craintive’, surtout en "manque d’affection’.
Durant son adolescente révoltée, était même un peu portée sur l’alcool et « les mauvais garçons ».
’Je sors beaucoup la nuit, raconte-t-elle dans les colonnes de l’hebdomadaire. ’Je vais d’homme en homme, d’appartement en appartement. Je cherche l’absolu, l’extrême. Je ne fréquente pas les bars branchés mais les bars de paumés, du côté de Bastille’.
’C’est comme si je devais toucher le fond pour ensuite remonter vers la lumière’, dit-elle ensuite.
La première fois qu’elle rencontre le Christ, c’était à l’âge de 3 ans, sur une plage, avant de le rencontrer plus tard, dans un rêve.
’Je suis recouverte d’un voile noir, encerclée par des hommes qui me lancent de l’un à l’autre. Je m’arrache à ce cercle, je cours, jusqu’à ce que j’arrive devant une cathédrale. Les portes s’ouvrent. J’entends les battements d’un coeur qui secouent tout la cathédrale. Et je vois le Christ en croix, immense. (...) J’entends : ’Que ton coeur de pierre devienne un coeur de chair.’ (...) J’étais à la fois terrorisée et envahie d’amour’.
’Je suis au mariée au Seigneur. (...) J’ai aimé les hommes. J’ai été coquette et séductrice mais, aujourd’hui, même mon corps Lui appartient’, clame-t-elle.
Ces articles devraient vous intéresser :