Thomas Hollande, le fils du président de la république François Hollande, a manifesté cette semaine aux côtés des salariés du groupe japonais Daiichi-Sankyo, menacés de licenciement.
Le 24 novembre dernier, le fils ainé du chef de l’Etat, était aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais rassemblés devant le ministère de la Santé à Paris pour faire entendre leur mécontentement.
Ils sont non seulement menacés de licenciement, mais se plaignent aussi d’avoir été trahis par leur employeur.
« Daiichi Sankyo trahison », « Demain, plus d’emploi pour nous » ont notamment scandé les manifestants.
Thomas Hollande, avocat des représentants du personnel, a expliqué que l’entreprise n’avait pris aucune décision quant à l’accompagnement des salariés après leur éviction.
La direction n’envisage pas non plus de verser une « indemnité supra-légale » aux salariés.
Elle entendrait mettre seulement en place « des mesures supplémentaires pour les salariés de plus de 50 ans ou qui suivent une formation ».
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