Valé­rie Trier­wei­ler brisée par les rumeurs, elle revient sur l’en­fer de l’Ely­sée

L’ex première-dame est toujours en pleine promotion de son roman « Le Secret d’Adèle ». Et cette semaine, elle se livre lors d’un entretien accordé au magazine « Le Point », occasion de revenir sur son passage à l’Elysée dont elle ne garde pas un bon souvenir tant elle a été critiquée.

« Les premières lettres sont arri­vées pendant la campagne élec­to­rale, se rappelle-t-elle. Et une fois à l’Élysée, on me disait que je n’étais pas première dame, parce que je n’étais pas mariée ».

« On ne mesure pas la violence d’une campagne, poursuit l’ex journaliste politique. C’est du 24 heures sur 24. On croit savoir. Mais toutes les rumeurs, toutes ces attaques qui viennent de l’inté­rieur… Tout cela est d’une grande violence. ».

« Au début, on peut être tenté de regar­der, explique ensuite Valérie Trierweiler. Et ça fait mal, on est humain, comme tout le monde. Ce serait mentir de dire que les attaques ne font pas mal. Puis, on ne regarde plus ».
Et d’ajouter : « Cette période repré­sente 20 mois sur 52 ans de ma vie. J’en ai assez qu’on me ramène à ces 20 mois en perma­nence. Je vois cette période comme une paren­thèse. Il n’y a pas de nostal­gie ».