Valé­rie Trier­wei­ler, quel est son plus grand regret à l’Elysée ?

15 novembre 2017 - 21h49 - Télévision - Ecrit par : Rédaction LeGossip

En entretien avec « cour­rier­cadres.com », Valé­rie Trier­wei­ler est reve­nue sur ses deux années passées au côté de François Hollande à l’Ely­sée, une fonction qu’elle a essayé d’incarner le plus simplement possible.

« Je n’avais rien à vendre et mon image, je ne l’ai pas travaillée, cela ne m’in­té­res­sait pas », confie-t-elle.
Et à celle que le magazine Closer affirme en couple avec Alain Delon se réjouit d’avoir gardé son job.

« Quand on est Première dame, on fait du béné­vo­lat. Mais est-ce que c’est inter­dit d’avoir un emploi en faisant du béné­vo­lat ?? Pas du tout. Je crois tout simple­ment qu’il y a une vision rétro­grade du rôle de Première dame : on s’at­tend à ce qu’elle soit bien habillée, qu’elle sourit et qu’elle s’oc­cupe de ses enfants. Si je n’avais pas conti­nué à travailler, imagi­nez ce qu’il se serait passé après ma rupture avec François Hollande. Je n’au­rais peut-être pas retrouvé du travail comme jour­na­liste, sans doute j’au­rais été exclue de ce milieu. Je n’ai donc aucun regret, bien au contraire. Le bon choix fut de m’ac­cro­cher à mon job », assure la journaliste.

Le regret de l’ex première dame est d’avoir pêché dans sa communication.

« C’est plutôt moi qui ne voulais pas. Je ne cher­chais pas à commu­niquer autour de mes actions car je souhai­tais rester le plus natu­relle possible avec mes inter­lo­cu­teurs. La média­ti­sa­tion, je trouve, a un côté vendeur. Je n’avais rien à vendre et mon image de Première dame, je ne l’ai pas travaillée, cela ne m’in­té­res­sait pas. Et c’est peut-être ça mon erreur. Mais ce que je voulais c’était avan­cer concrè­te­ment dans des actions avant de les média­ti­ser. Première dame, c’est un rôle unique mais pas évident à endos­ser », dit-elle.

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