En entretien avec « courriercadres.com », Valérie Trierweiler est revenue sur ses deux années passées au côté de François Hollande à l’Elysée, une fonction qu’elle a essayé d’incarner le plus simplement possible.
« Je n’avais rien à vendre et mon image, je ne l’ai pas travaillée, cela ne m’intéressait pas », confie-t-elle.
Et à celle que le magazine Closer affirme en couple avec Alain Delon se réjouit d’avoir gardé son job.
« Quand on est Première dame, on fait du bénévolat. Mais est-ce que c’est interdit d’avoir un emploi en faisant du bénévolat ?? Pas du tout. Je crois tout simplement qu’il y a une vision rétrograde du rôle de Première dame : on s’attend à ce qu’elle soit bien habillée, qu’elle sourit et qu’elle s’occupe de ses enfants. Si je n’avais pas continué à travailler, imaginez ce qu’il se serait passé après ma rupture avec François Hollande. Je n’aurais peut-être pas retrouvé du travail comme journaliste, sans doute j’aurais été exclue de ce milieu. Je n’ai donc aucun regret, bien au contraire. Le bon choix fut de m’accrocher à mon job », assure la journaliste.
Le regret de l’ex première dame est d’avoir pêché dans sa communication.
« C’est plutôt moi qui ne voulais pas. Je ne cherchais pas à communiquer autour de mes actions car je souhaitais rester le plus naturelle possible avec mes interlocuteurs. La médiatisation, je trouve, a un côté vendeur. Je n’avais rien à vendre et mon image de Première dame, je ne l’ai pas travaillée, cela ne m’intéressait pas. Et c’est peut-être ça mon erreur. Mais ce que je voulais c’était avancer concrètement dans des actions avant de les médiatiser. Première dame, c’est un rôle unique mais pas évident à endosser », dit-elle.
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