A ses débuts dans ONPC, Vanessa Burggraf a vécu des situations de stress, et regrette les critiques dont elle a fait l’objet sur Twitter, un média sur lequel « il faudra s’interroger un jour », estime-t-elle.
« C’est juste de la folie, il faudra un jour s’interroger sur ce média, a-t-elle estimé auprès du Télé Obs, avant de rappeler que dès sa première émission, elle avait vécu une situation de stress.
« Je fais de la tachychardie, là j’étais terriblement tendue, un mur de glace ».
Déjà qu’elle ne se trouvait « pas très bonne », la snipeuse de Laurent Ruquier a constaté avec amertume en suivant les réseaux sociaux, que « les autres ne la trouvaient pas non plus très bonne ».
« Je ne vous le cacherai pas : il y a eu des moments douloureux. Mais je n’ai pas lâché et je ne lâcherai jamais », a indiqué la jolie blonde.
Et s’elle a tenu le coup, c’est grâce à Laurent Ruquier, son patron.
« Laurent déteste les pleurnicheries, a-t-elle avoué. Un jour je l’ai appelé, je peux bien le dire, Léa (Salamé) a pleurniché elle aussi (rire). Bon, je n’ai pas vraiment pleurniché mais je me suis plainte : ’C’est dur, etc.’ ’Pff, a répondu Laurent, continue comme ça, moi je n’ai pas de doutes, allez ciao.’ Il n’y a pas eu de discussions de quatre plombes. Pas de psychothérapie. C’était : ’Tu y vas c’est tout et tu m’écoutes, moi ».
« J’ai aussi cessé de visionner les émissions, seulement des fragments d’interviews politiques, a-t-elle déclaré. La semaine dernière, j’ai enfin fait le travail de regarder toutes les émissions. Elles m’ont un peu rassurée. Les buzz, les polémiques, l’ont emporté et, sans vouloir jouer les Calimero, j’ai trouvé ça un peu injuste. Je me suis dit : ’Quand même sur certaines interviews politiques, tu t’es bien démerdée’ ».
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