A chaque fois que Vanessa Paradis a dû faire face à une épreuve, elle a toujours pu compter sur les siens, rappelle ’Gala’, qui consacre sa Une à la chanteuse.
’Tout au long de sa carrière, Vanessa a toujours fait face aux épreuves en trouvant refuge au sein de son clan’, rapporte l’hebdomadaire, qui pour l’occasion a recueilli les confidences de Hugues Royer, l’auteur de ’Vanessa Paradis, la vraie histoire’, sorti chez « Flammarion ».
’Son antidote aux déboires sentimentaux s’appelle André et de Corinne, ses parents, qui s’aiment et vivent toujours ensemble. Ça lui permet d’y croire’, a indiqué son biographe.
Chez les parents de Vanessa Paradis, installés dans la banlieue parisienne, « les tablées sont toujours joyeuses et les discussions sans tabous », est-il rappelé. C’est grâce à eux que la chanteuse a « appris la tolérance, une certaine liberté sexuelle, le goût des autres, l’inutilité de la flambe ».
Dans ses moments de doute, elle entend toujours, son papa, André, un artisan, lui répéter : « L’argent, c’est le taxi de la liberté, mais c’est aussi une belle prison ».
L’importance de son clan, la chanteuse de 42 ans l’ a chanté à plusieurs reprises, notamment dans « Le Rempart » et « Les Acrobates », extraits de Love Songs qui marque sa collaboration avec Benjamin Biolay.
« Quand j’oublie comment je m’appelle, c’est vers vous que je guide mes pas », chante-t-elle.
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