De ses ennuis de santé, Victor Lanoux y revient lors d’un entretien avec ’France Dimanche’, dans le cadre de la promotion de son livre ’Deux heures à tuer au bord de la piscine’.
’J’ai été opéré suite un malaise en 2007, de l’aorte à l’hôpital George Pompidou par un chirurgien indélicat qui a accroché une artère. Je suis sorti du bloc paraplégique, avec une seule corde vocale de valide’, a rappelé le héros de ’Louis La Brocante’.
’Et je n’ai toujours pas récupéré toutes mes cordes vocales. A cause des quatre pages de décharge que j’ai signées auprès de l’hôpital, je n’ai même pas pu attaquer ce médecin en justice’, confie-t-il, avant de préciser qu’il a réussi à tenir le coup grâce à son épouse, Véronique.
’C’est elle la première qui m’a fait bouger la doigt de pied. Je lui dois tant. Elle m’a sauvé’, glisse Victor Lanoux avant d’évoquer la mort.
’Je vais bientôt avoir 79 ans et je suis philosophe : Sachant qu’elle est inévitable, je l’accueillerais avec beaucoup de sérénité’, a-t-il par ailleurs indiqué.
Cette opération ratée, l’acteur en parlait déjà en 2011.
’J’ai dû repasser par tout ce que j’avais déjà surmonté : la convalescence à la clinique, et la fonte musculaire après avoir été alité’ confiait l’acteur. ‘C’est la faute du chirurgien qui m’a opéré la première fois, un ponte qui m’avait déjà coupé une corde vocale et laissé hémiplégique’.
‘Cette microfuite aortique, il m’avait dit à l’époque que ça allait se résorber tout seul. résultat : aucun suivi’, a-t-il regretté.
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