A l’affiche du film ’Cerise’, qui débarque en salle cette semaine, Zoé Adjani s’est livrée dans les colonnes du magazine ’Paris Match’, où elle évoque notamment sa relation avec sa tante, Isabelle Adjani.
’Depuis que je suis toute petite, on vient me voir dans la cour de récré pour me dire : ’C’est vrai qu’Isabelle Adjani c’est ta tante ? T’es une enfant de la balle ! T’es pistonnée ! Tu veux être actrice parce que c’est la facilité ’, confie la comédienne de 16 ans.
’Donc j’ai toujours eu conscience de ce qu’elle représentait’, poursuit-elle. Mais cela ne m’pas donné plus envie plus envie de découvrir ses films. J’habite sur la Côte d’Azur et Isabelle est très occupée. Comme tout le monde avec sa famille, on se voit une fois par an, pour les fêtes de fin d’année’.
’Contrairement à ce que mon nom peut laisser croire, j’ai appris à connaître le cinéma du côté des techniciens parce que mon beau-père est opérateur steadicam et qu’il nous a emmenés avec lui sur les plateaux’, tient-elle à faire savoir.
’Du coup, je ne connais ni les paillettes, ni les tapis rouges, ni les histoires d’image’, précise-t-elle.
Même s’elle fait ses débuts au cinéma, sa grande priorité est tout de même d’avoir son bac. Elle n’est donc pas intéressée par la célébrité.
’Ma priorité est d’avoir mon bac. Si des propositions se présentent d’ici là, on s’est dit, avec ma mère, que je pourrais faire deux films de plus si les projets me tiennent à cœur’, poursuit-elle. ’Je ne veux pas être comédienne toute ma vie. L’écriture de scénarios ou même la réalisation me tentent. Ce métier est fait de hauts et de bas. Il faut savoir retomber sur ses pieds’.
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