Le fait d’être en coupe avec la journaliste Anna Cabana avec laquelle il a pris du bon temps l’été dernier en Corse semble donner des ailes à Jean-Michel Blanquer.
Il n’a pas hésité à faire le forcing sur le président de la république pour maintenir les écoles ouvertes.
Finalement, il n’a pas eu gain de cause, mais il aurait obtenu quelques concessions, affirme « Le Parisien ».
« Câlinothérapie avec Blanquer », titre le quotidien avant d’évoquer le combat en coulisse du ministre de l’Education Nationale.
« Alors que leur fermeture semble inexorable », le compagnon d’Anna Cabana
« mène la bataille pour éviter le pire. « Pas une deuxième fois », a confié une source, en référence au premier confinement.
« Pas question de fermer six semaines non plus, sinon le décrochage pour les plus petits peut être terrible », avait-il expliqué à ses collaborateurs, lorsqu’un bruit a commencé à circuler autour de cette piste.
« Pour les lycées et collèges, il veut étendre l’enseignement à distance », précise Le Parisien. Et dès lundi, il s’était mobilisé afin de convaincre son camp en se rendant au bureau exécutif de LREM.
Le lendemain matin, « le ministre de l’Education nationale est reçu à l’Elysée. Puis en fin d’après-midi à Matignon. « Il fallait le cajoler », résume un
observateur.
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