Ce dimanche 18 juin, lors d’une interview accordée à Audrey Crespo-Mara dans l’émission Sept à Huit sur TF1, Amanda Lear, très régulièrement visée de curieuses rumeurs, s’est confiée sur l’utilisation de sa célèbre chanson pour une campagne publicitaire d’une grande marque de luxe. Malgré les apparences, cette collaboration ne lui a pas rapporté la fortune tant attendue.
Chaque semaine, Audrey Crespo-Mara discute avec des personnalités marquantes de leur carrière. Cette fois-ci, c’était au tour d’Amanda Lear de passer devant les caméras pour son portrait de la semaine. L’entretien a débuté sur le sujet du temps qui passe et de l’âge. Amanda Lear, d’un ton plein de malice, a déclaré : "Je suis arrivée à l’âge où toutes les filles de mon âge ont l’air plus vieilles que moi, je ne sais pas pourquoi (...) Mon physique, mon corps, il y a cette énergie, cette envie de continuer, la curiosité. Je pense qu’on devient une petite vieille quand on n’a plus envie."
La conversation s’est ensuite tournée vers son enfance et son parcours familial. N’ayant ni frères ni sœurs, Amanda Lear a révélé que ses parents étaient séparés et que son père, officier dans la marine britannique, l’avait élevée pendant un certain temps. Elle en a profité pour exprimer son scepticisme vis-à-vis du couple.
Mais c’est lorsqu’Audrey Crespo-Mara aborde le sujet de sa chanson "Follow Me", utilisée dans une publicité de parfum, que les choses deviennent intéressantes. Amanda Lear raconte : "Ce qui est extraordinaire, c’est que comme cette publicité passe dans le monde entier 15 ou 50 fois par jour, je suis même rentrée dans des hit-parades inespérés en Corée du Sud." Cependant, elle tient à clarifier les choses en précisant que malgré cette exposition mondiale, elle n’a pas touché le "jackpot" tant espéré. Les maisons de disques, selon elle, ne sont pas aussi généreuses qu’on pourrait le croire. Avec humour, elle conclut en plaisantant : "Enfin bon, ça payera mon EPHAD."
Amanda Lear livre ainsi les coulisses de sa carrière et nous rappelle que la réalité des contrats publicitaires peut parfois être bien différente de ce que l’on imagine.