Arielle Dombasle, qui revient avec « Alien Crystal palace », derrière et devant la caméra, se confie lors d’un entretien accordé à Paris Match, où elle évoque sa dévotion pour son mari, Bernard-Henri Lévy.
Comme sa mère, elle prône la dévotion à un homme.
« J’aime la dévotion totale à un homme, oui... Mais j’espère que je n’en mourrai pas », dit-elle, en référence à sa mère, qui a perdu la vie si jeune.
« Comme tout le monde, j’ai traversé des moments de détresse. Mais les écrans, le jeu, la
scène, quand il m’arrive de faire pleurer les gens d’émotion, j’oublie tout, je plane et je pleure à mon tour. Tout cela est un jeu bien douloureux et bien compliqué, a-t-elle par ailleurs indiqué.
Et même si sa vie n’a pas été facile, elle ne changerait rien.
« Toutes les grandes amoureuses du monde savent que, chaque fois qu’elles se lancent dans le grand saut périlleux de l’amour, elles risquent d’y perdre leur raison et leurs forces. Mais c’est ainsi. Il y a la ? une force plus forte qu’elles-mêmes », dit-elle.
« On refait toujours les mêmes erreurs et on retombe dans les mêmes pièges. Je le sais. C’est la seule grande aventure de la vie. Et c’est tout le sujet de mon film », glisse Arielle Dombasle, qui n’a jamais eu d’enfant.