Lors de son passage chez Sophie Davant, le critique culinaire avait non seulement chargé Michel Denisot, mais aussi Jean-Luc Delarue.
’Je maintiens que c’est une cuvette de chiotte de gare’, disait-il à propos de Jean-Luc Delarue. Il y a un moment... Attendez ! Il faut quand même remettre les choses au point. J’explique pourquoi j’en suis arrivé là. Parce que c’est vrai qu’au début, lorsqu’il est arrivé à Canal, moi j’y étais déjà depuis deux ans. Il est arrivé, on l’a pris sous notre aile, on l’a beaucoup aidé. C’était un petit gars formidable’, avait-il ensuite confié à propos de Jean-Luc Delarue.
’On a tout fait, puis tout à coup est arrivée d’abord la fumette. Ensuite le snif, ça a été la dégringolade absolue’, poursuivait-il avant d’évoquer Michel Denisot.
’Michel Denisot est un très bon professionnel, malheureusement peu généreux. Ses invités doivent surtout le mettre en valeur. Il n’aide pas, il reçoit distant, à peine bienveillant. Il se sert des autres mais se garde bien de les aider. Il est à l’affût du piège qu’il pourrait tendre’.
Invité à réagir à ces critiques, l’ancien présentateur du Grand Journal rappelle avoir donné sa chance à Jean-Pierre Coffe.
’Je n’ai même pas été déçu’, assure-t-il. ’Je suis triste pour lui plutôt que pour moi. Je suis allé le chercher dans son restaurant en 1984 pour lui faire faire de la télévision. On a passé de très bonnes années ensemble. Après, ce qu’il ressent aujourd’hui, c’est son problème, ce n’est pas le mien’.