Et des précisions à ce sujet sont données par le magazine France Dimanche, qui l’affiche en Une de sa dernière édition.
Le 18 mai dernier, Bernadette Chirac a célébré ses 90 ans dans la discrétion la plus totale, dans sa résidence du quai de Voltaire, dans le 7e arrondissement de Paris.
C’est là qu’elle serait installée depuis la disparition de son mari. L’ex-première dame serait aux prises avec la solitude, même s’elle est épaulée par deux aides-soignantes. Affaiblie physiquement, cette illustre descendante de la famille Chodron de Courcel n’aurait désormais qu’un seul désir avant de rejoindre son amour dans la tombe : revisiter une dernière fois son cher château de Bity, à Sarran en Corrèze.
Ce magnifique édifice a été « acquis le 3 mars 1969 par le couple Chirac pour la modeste somme de 264 000 euros (210 000 francs). C’est surtout Bernadette, soutenue par son père Jean-Louis, qui est tombée amoureuse de ce lieu chargé d’histoire, qui a abrité des résistants pendant la Seconde Guerre mondiale et a même été transformé en hôpital ».
Bernadette Chirac qu’une rumeur prétendait paralysée, espérerait revoir cet endroit. Mais probable que cela se fasse, même si sa fille Claude comprend ce désir.
Les médecins qui suivent de » près son état de santé le lui auraient interdit ». Son état ne le permettrait pas.