Ce lundi 3 juin 2024, Calogero a exprimé son mécontentement envers Jordan Bardella, président du Rassemblement national, qui a utilisé l’un de ses célèbres morceaux lors d’un meeting organisé au Dôme de Paris.
Condamné à payer 80000 euros pour plagiat par la Cour de Cassation sur son tube « Si seulement je pouvais lui manquer », Calogero brise le silence sur cette décision via sa page Facebook.
« Chers amis, je suis aujourd’hui accusé et condamné à tort de plagiat pour quelques notes du refrain de ma chanson Si seulement je pouvais lui manquer par un monsieur que je ne connais pas. La justice me condamne car je n’ai évidemment pas de preuve de n’avoir jamais été en contact avec sa musique. Cela me fait beaucoup de mal. Je vous écris pour que vous sachiez que chacune des notes qui composent mes mélodies depuis que j’ai 16 ans sortent toutes directement de mes tripes et de mon coeur », explique-t-il.
« Composer une mélodie depuis que je suis adolescent donne un sens à ma vie. Je mets un point d’honneur à ce que mes musiques soient le reflet de ce que je vis ou ce que je suis. Et je ne vous remercierai jamais assez de les entendre ces mélodies, de les comprendre et de ressentir cette sincérité, car je suis sûr que vous la ressentez », poursuit Calogero.
« La route a été longue pour moi et je n’ai jamais rien volé à personne. Je n’ai jamais copié personne et ne le ferai jamais. C’est injuste, cela me fait mal et je voulais vous le dire, voilà. Je vous embrasse, Calo ».
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