
Kate Middleton et le Prince William ne reculent devant rien pour préserver leurs chérubins, la princesse Charlotte et le petit prince Louis, des remous persistants au sein de la fratrie royale.
Charlotte Casiraghi, qui serait bonne vivante, ne pourrait qu’être influencée par sa belle-mère, Carole Bouquet, à l’honneur dans France Dimanche, dans son numéro du 13 septembre. Un projet ?
L’hebdomadaire consacre à l’illustre actrice un dossier intitulé « Quelle bonne bonne vivante », en rappelant qu’elle produit son propre vin, fabrique sa propre huile d’olive et cultive des câpres, un condiment produit à partir de boutons floraux du câprier.
Et elle aurait influencé non seulement ses fils dont Dimitri Rassam, et l’épouse de celui-ci, Charlotte Casiraghi.
« J’adore boire », a-t-elle confié au Monde, rapporte France Dimanche, qui rappelle que c’est sur l’Ile de Pantelleria, en Sicile, qu’elle a posé ses valises.
« Au début, je voulais juste marcher sur ma terre, aujourd’hui, je possède 25 hectare dont 8 de vignes » a indiqué celle qui produit de Le Sangue d’oro, un vin blanc doux, qui se vend en France, son premier marché, et en Suisse, et en Belgique. ’Le Sangue d’Oro’ serait l’ est un des ’rares vins people d’excellente qualité’.
« Comme il coûte cher à produire, il se vend cher, 54 euros la bouteille au Repaire Bacchus (un caviste très réputé) par exemple », a-t-elle indiqué.
Une belle réussite pour celle qui assure que « beaucoup, un vin fait par une actrice est de la me*de ».
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