Charlotte Gainsbourg traumatisée par un requin !
Charlotte Gainsbourg redoute plus que tout de se retrouver nez à nez avec un requin. Et pour cause, cette phobie trouve son origine dans un événement marquant de sa petite enfance.
Charlotte Gainsbourg traumatisée par un requin !
Charlotte Gainsbourg redoute plus que tout de se retrouver nez à nez avec un requin. Et pour cause, cette phobie trouve son origine dans un événement marquant de sa petite enfance.
Ses confidences sont relayées par le dernier numéro de Ici Paris, qui rappelle le traumatisme de la comédienne.
« Elle est atteinte de squalophobie, poursuit le spécialiste. Étonnamment, cette peur extrême se manifeste souvent chez des gens qui n’ont jamais approché un requin de leur vie. », a-t-elle confié dans le cadre des Rencontres du Papotin, l’émission de France 2.
Ce qui est d’autant plus troublant, c’est que Charlotte Gainsbourg n’a en réalité jamais été directement confrontée à ce prédateur marin. Cependant, les traumatismes liés à l’enfance sont souvent tenaces et déterminants à l’âge adulte.
Elle a découvert l’univers angoissant des requins dans Les Dents de la mer, un long-métrage culte qu’elle a visionné au cinéma à un âge bien trop précoce. Sa regrettée mère, Jane Birkin, l’avait emmenée regarder ce film. Et ça été le choc pour elle.
« Quatre ans, c’est trop jeune pour regarder un film d’horreur. Ma mère qui nous a emmenées, ma sœur [Kate, ndlr] et moi, ne le savait pas. Et c’est clair que ça m’a traumatisée », a confié la compagne d’Yvan Attal.
Et de préciser : « « Je ne sais pas si j’ai pleuré, c’est juste qu’à mon avis j’étais tellement choquée que j’étais au-delà des larmes. ».
Visiblement, Jane Birkin ne s’était pas suffisamment renseignée avant d’aller au cinéma avec ses filles, d’autant plus que Kate Barry - malheureusement décédée il y a quelques années - était également très jeune.
« Bien sûr, c’est trop jeune, mais ma mère ne s’est pas rendu compte que c’était un film d’horreur. Et en Angleterre, il n’était pas interdit [au jeune public, ndlr] », se justifie-t-elle.
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