En plein ramadan, le mois sacré des musulmans, Diam’s frôle l’asphyxie à Médine, la seconde ville de l’Islam, où elle est installée depuis des années. La chaleur et étouffante.
L’ex-rappeuse désormais femme d’affaires doit en effet composer avec 45° à l’ombre. En France, à certains endroits, nous sommes presque en hiver.
Par ailleurs, Diam’s apparait dans le dernier Closer qui rappelle son départ du showbiz en pleine gloire.
"Une boulette et puis s’en va", a commenté la publication. "Dé-rapage contrôlé".
"Meilleure vente de l’année 2006 avec le titre "Dans ma bulle", désormais mythique, la rappeuse a posé le mic’ à jamais.
Et c’est évidemment un traumatisme pour ses millions de fans, mais pas question qu’elle revienne sur les devants de la scène.
"Un jour, je me suis rendu compte que l’argent, le succès, le pouvoir ne me rendait pas heureuse. Je cherchais le bonheur", confiait Diam’s, maman de deux enfants, Maryam et Abraham.
Et en février dernier, elle a ouvert une agence de voyage spirituel, dont l’envol a été contrarié à cause de la pandémie meurtrière provoquée par le Covid-19, qui a fait plus de 250 000 de morts dans le monde.
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