Michel Sardou, âgé de 76 ans, profitait « des douceurs de l’été avec sa femme Anne-Marie quand soudain, « le pire est arrivé ». Il est supposé avoir été victime d’une attaque foudroyante.
C’est l’annonce choc du magazine Ici Paris, qui inquiète ainsi sur son état.
Âgé de 76 ans, Michel Sardou était en train de savourer les plaisirs estivaux en compagnie d’Anne-Marie lorsque l’inattendu s’est produit : une attaque foudroyante, du moins selon l’annonce du magazine Ici Paris. L’annonce a sans doute secoué le public, et pourrait susciter des inquiétudes quant à sa santé.
Cependant, il ne s’agit pas d’une détérioration de son état physique , mais plutôt d’une charge portée contre lui par la chanteuse Juliette Armanet, célèbre pour son tube "Le Dernier Jour du disco" et lauréate d’une Victoire de la musique en 2018.
Interrogée par le média belge Tipik, Juliette Armanet a étonnamment exprimé son aversion envers l’une des chansons emblématiques de Michel Sardou, "Les Lacs du Connemara". Ses critiques n’ont pas été mâchées : « Ce titre pourrait me faire quitter une soirée. C’est vraiment une chanson qui me dégoûte. Le côté scout, sectaire, la musique est immonde… C’est de droite, rien ne va… », a-t-elle déploré, suscitant la surprise de son interlocuteur et l’agitation sur les réseaux sociaux.
Les commentaires virulents de Juliette Armanet ont ouvert le débat sur ses motivations. Pourquoi une telle hostilité envers une chanson qui a rythmé la vie de nombreux Français depuis des décennies ? Était-ce une attaque personnelle ou une manière de se faire remarquer ? Si Michel Sardou n’a pas immédiatement réagi à la controverse, Jacques Revaux, compositeur de la chanson, a exprimé son incompréhension face à cette agressivité.
« J’ai envie de demander qui est Juliette Armanet ? Pour qui elle se prend ? », a-t-il déclaré sur BFM TV. Il a également souligné que la chanson « Les Lacs du Connemara », écrite en 1981, n’a rien de politique, racontant plutôt un mariage interreligieux en Irlande.
Malgré les propos négatifs, la popularité de « Les Lacs du Connemara » « reste indéniable », résistant à l’épreuve du temps, et témoignant du caractère intemporel de la musique de Michel Sardou.
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