Un choix étonnant pour celle qui a connu une jeunesse privilégiée mais peu "hyperfunky".
C’est la rappel du média italien, Delei, qui se base sur les confidences de l’égérie de Chanel. Elle avait dévoilé une facette méconnue de sa personnalité.
Dans le cadre des "Rendez-vous littéraires rue Cambon" organisés par Chanel, l’héritière monégasque s’est livrée à une conversation intime avec la romancière Anne Berest.
L’occasion pour elle de se confier sur une période de sa vie souvent idéalisée, mais qui fut loin d’être un long fleuve tranquille.
« Je n’étais pas hyperfunky à l’époque, surtout pendant les classes préparatoires, très angoissée, perfectionniste », avait-elle indiqué.
Il était question de ses années au lycée. Loin de l’image de jet-setteuse insouciante que l’on pourrait lui prêter, Charlotte Casiraghi décrit une adolescence rythmée par le stress des examens et la pression de la réussite.
"Je n’ai pas vécu l’euphorie des 18-20 ans : toutes mes amies sortaient et étaient beaucoup plus libérées", se souvenait-elle avec un brin de nostalgie. Un sentiment d’avoir manqué quelque chose, d’avoir été privée de la légèreté et de la spontanéité propres à la jeunesse.
Mère de deux enfants, dont Balthazar, né de sa relation avec Dimitri Rassam, Charlotte Casiraghi, qui serait en couple avec Nicolas Mathieu, a retrouvé le goût des études il y a quatre ans en reprenant des cours de philosophie à la Sorbonne.