La mémoire de la regrettée Florence Arthaud aurait été souillée par une autre femme, rapporte le magazine France Dimanche.
Avant son décès dans un crash aérien survenu en Argentine et qui a couté la vie à dix personnes, Florence Arthaud s’est livrée dans son autobiographie « Cette nuit, la mer », qui sera en librairie le 19 mars.
La navigatrice y revient notamment sur cette nuit du 29 octobre 2011, lorsqu’elle est tombée de son voilier en pleine mer, au large la Corse sans gilet de sauvetage, rappelle « Paris Match » qui lui consacre la Une de sa dernière édition.
Celle qui a perdu la vie en Argentine alors qu’elle tournait « Dropped », l’aventure de TF1, y évoque également son premier amour. C’était en 1976.
« Le destin avait frappé à ma porte en 1976, aux États-Unis », a-t-elle écrit.
« J’étais jeune. J’étais jolie. J’avais dix-huit ans, l’âge où l’on veut conquérir le monde, où l’on part sans hésiter à la poursuite de ses rêves », poursuit-elle.
« Il me regarda droit dans les yeux, me sourit et me dit : « Mademoiselle, voulez-vous traverser l’Atlantique avec moi ? » Son nom était Jean-Claude Parisis », rappelle la navigatrice.
« Il fut aussi mon premier amour. C’était la première fois que mon cœur battait à tout rompre. Durant cette traversée de l’Atlantique, j’allais trouver mon paradis, mon univers : la mer », a-t-elle indiqué.
Elle précise toutefois que son son seul vrai compagnon, c’est la mer.
« J’ai mené une existence bien remplie, un peu tumultueuse, c’est vrai. Aucun homme ne m’a comblée autant que l’océan ; c’est la mer qui me fait vibrer, l’océan m’emporte. La vie de couple ne m’a jamais fait rêver. J’aime trop ma liberté ! », clame-t-elle.