Le chroniqueur et producteur brise en effet le silence sur cette affaire dans les colonnes du Parisien.
Il prétend qu’il n’a rien à se reprocher.
« A la peine personnelle d’un amour qui prend fin vient s’ajouter une peine médiatique à laquelle je ne m’attendais pas. Ça m’a vraiment affecté. déclare-t-il. Je n’ai jamais été menotté contrairement à ce qui a été dit. Quand les policiers sont venus me chercher, ils m’ont dit : ‘On ne va pas vous mettre les menottes, on vous connaît’. Je les ai remerciés. Et ensuite la garde à vue s’est bien passée. Je n’ai jamais été enfermé ».
Igor Bogdanoff affirme qu’il n’est jamais rentré dans l’appartement de son ex de force, comme cela avait été affirmé par le magazine Closer.
« Je lui ai simplement dit d’ouvrir la porte. Je suis rentré et on a parlé sereinement. Je ne l’ai jamais menacée et elle ne le sera jamais. Je lui conserve mon affection et mon respect, a-t-il lancé.
« Un autre garçon veut prendre place. C’est pour ça qu’il a appelé la police, mais il n’a aucune raison de se placer comme un défenseur. Parce que ce n’est pas le cas. Je n’ai rien à me reprocher », assureIgor Bogdanoff, qui a été placé sous contrôle judiciaire et qui sera convoqué au tribunal pour « violation de domicile et dégradation légère de biens privés ».