Ils se sont rencontrés en 2004 sur RMC.
« Je n’avais aucune idée de qui était Jean-Jacques Bourdin, avoue Anne Nivat. J’habitais à Moscou, j’étais loin de tout ça, j’étais juste venue pour faire la promo d’un de mes livres. Et mon attachée de presse, c’est d’ailleurs elle qu’il faut remercier, m’a dit : si tu veux que l’existence de ton livre soit connue par les 15 - 25 ans, tu vas chez Bourdin. Et là, il m’a alpaguée », se rappelle la journaliste.
Jean-Jacques Bourdin est aussi revenu sur les débuts de cette histoire.
« Je me suis battue contre mes équipes pour ne pas la prendre ! Je me suis dit, l’Afghanistan, l’Irak… L’Asie Centrale… Et puis quand j’étais à RTL, je l’avais interviewée par téléphone, et elle était un peu sèche, et très déterminée. Je me suis dit oulalala… », s’était-il rappelé.
« Il m’a couru après et m’a dit : "J’ai deux questions. Quand est-ce que vous repartez à Moscou, et est-ce qu’on peut se revoir avant votre départ ?, s’elle par ailleurs souvenue la journaliste.