Jean-Jacques Goldman possède une carrière brillante, mais derrière son succès se cachent des instants où sa vie a été suspendue par un fil fragile. Il a frôlé la mort dans un incendie.
C’est le 11 octobre prochain que Jean-Jacques Goldman célèbrera ses 70 ans, occasion de rappeler comme il a réussi à négocier ses royalties avec les maisons de disques.
Et cela lui rapporte jusqu’à deux millions d’euros par an. Une belle somme qui lui assure un excellent train de vie. C’est ce que rappelle « Le Soir Mag », qui revient sur son parcours à l’occasion de son 70 ème anniversaire.
Au fil des années, il s’est imposé comme le patron de la chanson française. « Mais c’est aussi un homme secret, qui cultive sa part d’ombre », indique la publication, avant d’assurer qu’il gagne pratiquement deux millions d’euros par an « sans rien faire ».
« C’est un excellent homme d’affaires qui, avec l’aide de son frère Robert, a réussi à imposer aux maisons de disques une marge largement supérieure à celle qui se pratique habituellement, jusqu’à 30 % contre 7 à 8 % pour la plupart des autres auteurs, compositeurs et interprètes », rapporte l’hebdomadaire dont la Une de cette semaine à Bernard Tapie, qui a perdu la vie à l’âge de 78 ans des suites d’un cancer généralisé.
Et de nous apprend que la Sacem verse près de deux millions d’euros par an à Jean-Jacques Goldman, une somme rondelette s’ajoutant « au pactole engrangé par la vente de ses différents albums, écoulés à près de 30 millions d’exemplaires, ainsi qu’aux revenus de son patrimoine immobilier estimé
considérable ».
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