Jean-Luc Reichmann : Les vacances de l’amour avec Nathalie aux États-Unis

Et des photos sont relayées par le dernier numéro du magazine Ici Paris qui leur offre sa Une.

Un road trip inoubliable est évoqué. L’animateur des 12 Coups de midi et sa chère et tendre ont commencé leur aventure par un vol vers Chicago.

Après une nuit de repos, ils se sont lancés sur la mythique route 61, également connue comme la route du blues. La Nouvelle-Orléans était leur destination finale, mais en chemin, ils ont fait plusieurs arrêts mémorables, précise la publication.

À Chicago, Jean-Luc Reichmann a plaisanté sur Instagram : « Après à peine 17,1 km dans les rues de Chicago le premier jour… Nathalie est déjà DéCéDééééeee. ».

Leur périple les a également menés à l’Union Station, célèbre pour une scène des "Incorruptibles" de Brian De Palma.

Enfourchant une imposante moto Indian, avec Nathalie assise derrière et un ami suivant en voiture pour transporter les bagages, le couple a continué leur voyage. Une panne de moto les a forcés à passer quelques heures dans un garage, mais rien n’a pu entamer leur enthousiasme. Quatre jours plus tard, ils ont atteint Nashville, où ils ont profité des concerts de rock et de country.

Leur voyage les a ensuite conduits à Graceland, la célèbre résidence d’Elvis Presley, puis à une croisière musicale sur le Mississippi. En arrivant à La Nouvelle-Orléans, Jean-Luc et Nathalie ont assisté à plusieurs concerts de blues, se plongeant dans l’atmosphère unique de la ville.

Après trois semaines de voyage, le couple a atteint Miami. Ils avaient réservé une chambre au Setai, un hôtel luxueux avec vue sur l’océan. Cependant, leur arrivée a coïncidé avec de violentes intempéries.

L’animateur a partagé : « Il est tombé en 24 heures l’équivalent de quatre mois de pluie à Paris ! » Malgré les inondations et l’annulation de 75 % des vols, leur bonne humeur est restée intacte. Ils ont même bravé les éléments pour profiter de la plage.

Malgré les défis, Jean-Luc Reichmann a conclu leur aventure avec optimisme : « C’est une espèce de folie pure et dure. Ça se termine comme ça, mais c’était un beau voyage. »

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