Le journaliste a notamment affirmé ne pas avoir « compris cette décision » qui lui « semble brutale, inattendue, imprévisible, maladroite et absurde ».
« J’étais la meilleure audience d’Europe 1, j’étais en tête, avec des résultats positifs, devant même mon ami Canteloup », explique-t-il, ajoutant qu’ « il y avait un désaccord sur le fond, la stratégie ».
« Mon destin, c’est moi qui le prend en main donc j’ai dit goodbye, avec tristesse et émotion », poursuit-il.
« Il y a quelqu’un pour qui j’étais insupportable, à un moment donné on a choisi de m’écarter », indique Jean-Pierre Elkabbach, ciblant le directeur général d’Europe 1.
« Je souhaite de tout mon coeur qu’Europe 1 renaisse et je suis sûr qu’Arnaud Lagardère, qui n’est pas aveugle », s’en occupera.
« Il y a eu assez vite des propositions dont celle de Vincent Bolloré qui m’a surpris et qui m’a en même temps emballé parce qu’elle ouvrait des perspectives, c’est une chance assez inouïe de pouvoir participer à la renaissance, la naissance d’une chaîne de télé », a-t-il fait savoir.